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Dans cette perspective, les mieux lotis n’auraient
disposé que d’un peu plus de 24 heures de récupération,
tandis que les retardataires voyaient leur temps de repos réduit
à une minuscule nuit d’hôtel. Pas assez, selon
Jean Yves Chauve, le médecin de l’épreuve. «
Le fait de repartir après 24 heures de pause, était
évidement un peu juste. Le risque était pour les coureurs
de s’écrouler à la fin de la deuxième étape,
voire à Ouessant. Il y a une fatigue immédiate que l’on
peut essayer de compenser, mais il y a aussi une fatigue « retardée
» qu’on met beaucoup plus de temps à récupérer.
Ce n’est pas un hasard si certaines professions, comme les pilotes
de ligne par exemple, bénéficient de périodes
de récupération longues. En plus, la dette de sommeil
et la capacité de récupération sont variables
en fonction des gens. En fait, 73 heures de sommeil fractionné,
comme pour cette première étape, ne se récupèrent
pas en une seule nuit ».
Une décision dictée par le bon sens
Même si la plupart des coureurs s’étaient
préparés psychologiquement à une escale express
en Espagne, cette décision de la Direction de Course, dictée
par le bon sens, est accueillie favorablement et rassure les craintes
émises ce matin sur les pontons par les skippers les plus épuisés.
Côté météo, ce retard posait
un éventuel problème aux organisateurs : celui de lancer
la flotte dans un système de vent trop faible. Mais de ce côté,
le directeur de course Jacques Caraës se veut rassurant : «
vendredi matin, nous aurons un vent d’ouest-nord-ouest de 8
à 12 nœuds. C’est suffisant pour faire un vrai et
joli départ. Les douze premières heures seront les plus
délicates avant de pouvoir récupérer un front
de suroît (sud-ouest) qui va emmener les concurrents directement
à Cherbourg, sans traîner (…). Nous déplacerons
la ligne de départ à l’extérieur de la
baie. Cela permettra aux coureurs de vite se dégager. Cette
décision n’a pas été difficile à
prendre : c’est tout simple, avec une prise en compte de ces
deux paramètres essentiels que sont le sommeil et la récupération
– donc la sécurité – et la météo.
Nous avons trouvé un juste milieu pour rendre la course jolie
et elle le sera après-demain ! »
Les trois bateaux qui ont talonné sur le chemin
du retour ( Lola, OTCex Group et Allmer Ineo GDF Suez), étaient
quand à eux pratiquement réparés et prêts
à prendre le départ.
Source : Solitaire Figaro
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